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vendredi 9 décembre 2011

jeudi 8 décembre 2011

C2C – F·U·Y·A

C'est nouveau, le son est bon et ça pourrait donner des idées pour la réalisation des clips de Coco !


C2C - F·U·Y·A ( by @C2Cdjs ) par C2Cofficial

vendredi 21 octobre 2011

French HipHop from Chili



Allez voir le twiki, elle est née en France !

Les effets du début sur le texte sont sympa, des idées pour Coco prod...

mercredi 13 juillet 2011

Je crois connaitre ce son et vous ?

Les plus aguéris d'entre vous me donnerons la chanson connue qui se cache derrière ce vieux morceau à la flûte traversière.

mercredi 4 mai 2011

Le son du jour

Le premier rasta: Anniversaire de sa mort


Leonard Percival Howell

Leonard Percival Howell est le fondateur du mouvement rasta. Il n’a inventé ni les dreadlocks, ni l’herbe (introduite en Jamaïque par les Indiens), ni le reggae. Il n’a pas théorisé le retour en Afrique, la nature divine d’Heilé Selassié ni la négritude de Jésus. Simplement, Howell a su faire converger un ensemble de revendications et d’attitudes, mettant en pratique des préceptes que d’autres, comme Marcus Garvey, se contentaient de promouvoir.

Howell est né en 1898 à Clarendon, une région agricole de l’île. Son père appartient à cette générations de jamaïcains noirs nés libres – l’esclavage a été aboli en 1838 - et contraints d’inventer leur vie. Anglican comme ses anciens maîtres, Charles Howell accède à force de travail au statut de notable, capable d’offrir à ses enfants une certaine éducation.

Indépendant et fantasque, Howell quitte le pays très tôt et s’installe à New York. Il voyage et débarque à Panama. En 1917, il s’engage mais, lors d’une escale, il déserte une guerre qu’il laisse volontiers aux blancs. Il navigue durant huit ans, comme cuistot, visitant l’Afrique, l’Europe, l’Asie. Tour à tour manœuvre, marin, portier, il enchaîne ensuite les petits boulots avant d’ouvrir un café à Harlem, un de ces ganja-pads où la marijuana circulait, entre deux discours militants. De retour en Jamaïque en 1932, Howell soutient l’action de Marcus Garvey et contribue à la déification d’Heile Selassie. Alors que Marcus " le moderne " joue les rationalistes et essaye de susciter une prise de conscience populaire, Howell fait feu de tous bois, parcourant la campagne et mobilisant les foules en utilisant les ressorts religieux. Panoplie de prophète – robe noire, rites purificateurs, etc. – et anecdotes pseudo-historiques lui permettent de fédérer les paysans jamaïcains. Il fait référence aux employés blancs de l’empereur d’Ethiopie, dresse le récit de la prosternation du Duc d’York, envoyé de la Couronne britannique, devant Heile Selassie. Pour servir son projet, Howell prétend parler plusieurs dialectes africains et fonde la Société pour le Salut Ethiopien (Ethiopian Salvation Society) en 1934.

Imaginez l’ambiance : Howell déboule dans cette colonie anglaise parfaitement administrée et clame la noblesse de la race noire en prônant la marijuana comme sacrement. Alors qu’à cette époque un noir s’adresse à un blanc la tête baissée, il crie haut et fort qu’il faut cesser de verser l’impôt à la Reine d’Angleterre. Au cours d’un des nombreux procès qu’il subira, en 1935, Howell s’adresse au juge – blanc – sur un ton inimaginable : " je te conseille de me donner la peine maximale, car bientôt, lorsque je siégerai à ta place, je ne te raterai pas ".

En 1933, il est emprisonné pour avoir essayé de vendre 5 000 photos de Heile Selassie, qu’il présentait comme des passeports pour l’Ethiopie. Il décide alors de bâtir une communauté autonome sous l’égide du nouveau messie. A sa sortie de prison, il part avec ses supporters dans les collines isolées de la Jamaïque, lieu historique de refuge pour les esclaves en fuite qu’on appelait " Maroons ". Ces collines devinrent un lieu de mémoire fortement présent dans la culture rasta, au point de figurer sur un grand nombre de pochettes de disques reggae. On peut citer par exemple Rise Shine de Peter Broggs, sur la pochette duquel dready Peter court comme un petit fou au milieu des colline, rigolard comme s’il avait fumé la moitié de l’herbe autour de lui. L’album Tribute to the martyrs, de Steel Pulse, figure aussi les collines de l’île – sous la forme d’un dessin révélant au premier plan une famille en exil. Man in the Hills, de Burning Spear, fait également référence à ce décor. Les collines de Jamaïque peuvent d’ailleurs se confondre avec les monts d’Ethiopie, dont elles semblent être une promesse, comme sur l’album Visons de Dennis Brown.

La communauté voulue par Howell, le Pinnacle, est construite dans l’est de l’île, près de Spanish Town. Il y rassemble des travailleurs indiens, venus remplacer les esclaves dans les plantations, et prend le nom de Ganguru Maragh, ou Gong pour les intimes. Le lieu devient le domicile et la ferme communale des hommes, des femmes et des enfants. Howell adopte un régime végétarien et organise une liturgie à base d’encens, d’incantations et de volutes d’herbe. La communauté veille au respect de l’équilibre démographique. Elle comptait une centaine de personnes, qui jouissaient d’une certaine sécurité matérielle grâce aux champs de coton et de ganja (la communauté possédait plus de 180 000 pieds …) que Gong leur donnait à cultiver.

Puisque la communauté de Pinnacle n’est pas extensible, une diaspora se forme progressivement, regroupant des individus issus de la communauté mais incités à trouver ailleurs leur bonne fortune. Certains se joignirent aux familles pauvres et expropriées du bidonville situé dans le quartier surpeuplé de Back O’ Wall, à l’ouest de Kingston. C’est à partir de ce quartier que le rastafarisme se diffusera dans la capitale puis dans l’île.

Considéré comme fou, Howell est plusieurs fois enfermé dans un asile ou en prison. Sa maison est incendiée. Il subit les attaques des politiciens, de la police et de l’Eglise. En 1954, le bastion de Pinnacle est relié au réseau routier de l’île, ce qui met à mal la tranquillité de la communauté. Le succès de son petit commerce attire également les clans de gunmen, qui bientôt s’entre-tuent pour le contrôle du trafic de l’herbe. Non violent, Howell subit des assauts répétés et doit quitter son domaine en 58, après avoir dispersé la communauté. Il se réfugie à Tredegar Park, où il vivra terré et paranoïaque, sombrant dans l’anonymat comme Marcus Garvey, oublié des siens comme de ses ennemis. Il y meurt en 1981, la même année que Bob Marley. Ironie de l’histoire, Bob Marley avait fait d’Howell un de ses maîtres spirituels même s’il se promettait d’échapper à son destin, chantant " moi, je serai plus dur (‘tuff’) que le Gong (Howell) ". C’est même cette référence qui servit de nom au label créé par Marley, Tuff Gong.

lundi 18 avril 2011

Racing with the sun

Suite de mon article sur la sortie du nouvelle album de Chinese man. J'attendais cette sortie avec impatience, tellement j'avais aimé les deux premiers. Ils se placent parfaitement dans mes (nos) gouts musicaux, un son hip-hop, des samples de malade, des voix qui collent bien au bazar.

Le nouvel album est encore mieux que les autres, un peu plus doux à mon gout. Je l'ai écouté en boucle tous le weekend, une tuerie !

Qu'ils me pardonnent par avance de ne pas avoir acheter le CD comme l'a justement fait remarquer notre ami cosmo, qui lui as été un bon élève, j’attends avec impatience la sortie du LP pour apporter ma modeste contribution pécuniaire à leur création.

Et vous qu'en pensez-vous ?

lundi 11 avril 2011

Le son du jour : soul

Charles Bradley - The World (Is Going Up In Flames) - Feat. Menahan Street Band

lundi 4 avril 2011

Mixxx, une autre façon de faire le DJ


Alors pour les Dj(s) et autres amateurs de musique numérique, je vous présente Mixxx.

Un software gratuit et open source permettant de mixer vos mp3 en jouant sur le pitch avec le possibilité de faire des cue pour vos boucles.

Si vous souhaitez en plus utiliser le contrôle via un vinyl (ou cd) à la façon Serato Scratch mais sans acheter le boîtier qui n'est pas donné, consultez donc le guide, ça se passe par . Et pour le vrais, il y a aussi la mixette midi qui va bien avec.

Enfin pour ne fâcher personne l'application est disponible pour Les Pc, les Pommes et Les Pingouins. Alors je ne vois pas pourquoi vous ne l'avez pas encore.

Allez @ peluche.
May the Music be with you.

vendredi 1 avril 2011

Nintendo 3DS

J'ai testé pour vous la 3DS !

Avant de vous soumettre mon avis, faut quand même que je vous dise que le stylet m'a toujours cassé les couilles à l'utilisation, bref.

Un collègue l'a acheté ces jours-ci et je l'ai testé avec le jeu lego StarWars3. Le résultat est satisfaisant, on a bien un rendu 3D quand on regarde l'écran. Seul problème, et de taille, dès qu'on se décale d'un millimètre, l'affichage est flou, doublé. Moi qui joue sur une console portable uniquement dans des positions confortables, pour ne pas dire vautré ou sur le trône, c'est quand un peu génant. Maintenant je pense que nos amis les gamers, je pense à mon frère par exemple, seront content de cette évolution qui, pour moi, reste un gadget qui ne me poussera pas à troquer la DS de ma fille contre une nouvelle version...

A écouter au moins une fois

Vu ce soir sur Tracks:

Ecoutez bien les paroles, dédicaces à JPP (celui du JT de la Une)

Pour le lien c'est ici

Et ici pour les paroles:

jeudi 31 mars 2011

News

salut
pti site sympa pour savoir qui sample qui : who sampled


Clip : le bébé à moustache (Noze & Riva Starr)

Selah Sue sur le plateau de Taratata.


Spéciale dédicace pour Jojo, on en a parlé mardi soir au Komptoir. Voilà le lien de la vidéo de Selah Sue, une petite merveille Belge, sur le plateau de Taratata.
Je me rappelle être restée scotchée devant mon PC la première fois que je l'ai entendu.
En revanche, je vous l'accorde volontiers, Moby nique un peu l'ambiance, pour être polie. ^^ Si vousvoulez en savoir plus sur cette jeune demoiselle:


Bonne découverte les loulous !

Nouvel album de Chinese man le 11/04/2011 !


Assis sur ma chaise confortable à mon boulot, j'écoute NOVA en me baladant sur le net. D'un seul coup j'entends un putain de son de sa race. Je vais sur la page "ce que j'écoute" pour avoir le titre et là je découvre que c'est nos amis de chinese man 'miss chang' ! Musique au combien fabuleuse avec moulte samples, des lignes de basse bien présentes, un son résolument hiphop, du scratch et une touche asiatique avec le chant, magnifique, le bonheur...

Ni une, ni deux, je me précipite vers tous les liens que je trouve pour me renseigner sur une éventuelle sortie que j'aurai zappé.

Ils sortent un album le 11/04/2011
Je vais investir dans le double lp dès que possible, si vous êtes chaud faites moi signe pour une commande groupé.

http://www.chinesemanrecords.com/

http://www.myspace.com/chinesemanrecords

Initialisation de notre blog


Yo les bichons !


Pour ce premier message je vous invite à écouter le son que j'écoute le plus en ce moment, c'est ma petite femme qui m'a fait découvrir le gars, un vrai coup de cœur :

Son dernier album est en écoute ici avec une introduction à effigie du vinyle, rien que l'intro est mortelle musicalement, trop bon ! Tout est bon à écouter en particulier "i want you tonight" pour moi une jouissance.

Un article sur le type où on apprend qu'il était le beatmaker d’alliance ethnic ahah : http://www.freezeec.com/guts-le-bienheureux.html

A bientôt